Depuis plusieurs mois, deux patriotes occitans sont quotidiennement diffamés sur les forums Usenet soc.culture.occitan et fr.soc.politique : Jean-François Blanc et Éric Gonzalès.
À Jean-François Blanc, on fait l’outrage de le traiter de « fils de collabo », on feint de croire qu’il est le fils du milicien Maurice Blanc qui sévissait dans l’Aude dans les dernières années de la seconde Guerre mondiale, et dont Alibert parle dans une lettre qu’il écrivit au préfet de l’Aude en 1943. On le traite de « nazi » et également de « séparatiste ».
D’Éric Gonzalès, on essaie de propager une rumeur selon laquelle il aurait été révoqué de l’Éducation Nationale pour avoir violé une collégienne (de 14 ans, précise-t-on), sans expliquer pourquoi, alors, il n’a pas été condamné à une peine de prison. On va même jusqu’à affirmer qu’il aurait « reconnu les faits » sur soc.culture.occitan ! On l’accuse également d’être antisémite.
Éric Gonzalès n’a pas été révoqué de l’Éducation Nationale. Son casier judiciaire est vierge. Il n’est pas antisémite et la seule « preuve » de son prétendu antisémitisme qu’avance la personne qui le calomnie est qu’il porte souvent un keffieh (!).
Quant à Jean-François Blanc, le seul fait réel qui lui y est reproché est une lettre publiée il y a des années dans la revue Lo Lugarn, dans laquelle il défend le point de vue selon lequel il peut être dangereux de revenir sur le passé collaborationniste de Louis Alibert, parce que cela peut profiter aux adversaires de l’occitanisme.
L’auteur des calomnies envers Jean-François Blanc et Éric Gonzalès est un provençaliste fanatique dont, de son propre aveu, la seule raison de la présence sur soc.culture.occitan est de « casser de l’occitaniste », tous les occitanistes étant accusés de « nazisme » à cause de l’attitude d’Alibert pendant la guerre ! Il utilise divers pseudonymes comme « Bèstio del Giboudan », « Kwy = refilh de collabo », ou encore celui de « Elifodep el Sélaznog », calomniant ainsi jusque dans son pseudonyme.
Cet individu reste anonyme et c’est ce qui lui permet d’insulter et de diffamer. C’est également un malade mental qui a fini par prendre ses mensonges pour des réalités et « pète un câble » chaque fois qu’on lui démontre qu’il a tort, se lançant alors à publier des dizaines et des dizaines de messages diffamants pour celui qui le lui a démontré.
Depuis des années, il publie, au mépris de toute Netiquette, l’adresse postale de Jean-François Blanc sur soc.culture.occitan, ce qui constitue manifestement une atteinte à la vie privée, mais il ne publiait pas celle d’Éric Gonzalès. Depuis quelques semaines, il s’est également mis à publier celle-ci, alors qu’Éric Gonzalès n’est pas sur l’annuaire.
Comment s’est-il procuré cette adresse ? Au début de l’année, Éric Gonzalès a acheté un livre auprès des éditions Aigo Vivo dirigées par Yves Gourgaud, un autre provençaliste fanatique. Le calomniateur anonyme, qui est proche d’Yves Gourgaud – celui-ci intervient souvent sur son blog Mistralenc –, ne peut s’être procuré l’adresse d’Éric Gonzalès que par Yves Gourgaud. J’accuse donc solennellement Yves Gourgaud d’être complice des messages diffamants postés quotidiennement par le calomniateur anonyme d’Usenet.
J’accuse également Serge Goudard, militant provençaliste de Bouzigues dans l’Hérault, d’être complice de cette campagne par sa passivité puisqu’il ne fait rien pour faire cesser ce torrent de calomnies alors qu’il intervient sur les mêmes blogs (Info d’Oc, Mistralenc, Marsyas2 dont il est propriétaire) que le calomniateur anonyme.
J’accuse enfin Alain Broc (qui lui a bien été révoqué de l’Éducation Nationale), qui a eu cet aveu sur soc.culture.occitan : « Nous vous l’[le calomniateur anonyme] avons envoyé », de complicité puisque lui aussi ne fait rien pour faire cesser cette situation et ferme les yeux lors de ses interventions sur soc.culture.occitan.
Cette campagne de diffamation anonyme nous montre à quels coups bas sont prêts certains provençalistes pour nuire à des gens connus (un écrivain et un militant connu à l’I.E.O. Paris et sur Wikipedia) dans ce qu’il est convenu d’appeler l’« occitanisme » : il n’ont pas de morale, ils sont prêts à utiliser des méthodes dignes de la presse d’extrême-droite de l’Entre-deux-guerres. Car il s’agit bien, en vérité, d’une campagne politique, de basse politique, et pas d’une simple guéguerre de forum.
C’est pourquoi nous avons décidé de diffuser ce texte le plus largement possible : afin de répondre sur Internet à des propos publiés sur Internet.
À Jean-François Blanc, on fait l’outrage de le traiter de « fils de collabo », on feint de croire qu’il est le fils du milicien Maurice Blanc qui sévissait dans l’Aude dans les dernières années de la seconde Guerre mondiale, et dont Alibert parle dans une lettre qu’il écrivit au préfet de l’Aude en 1943. On le traite de « nazi » et également de « séparatiste ».
D’Éric Gonzalès, on essaie de propager une rumeur selon laquelle il aurait été révoqué de l’Éducation Nationale pour avoir violé une collégienne (de 14 ans, précise-t-on), sans expliquer pourquoi, alors, il n’a pas été condamné à une peine de prison. On va même jusqu’à affirmer qu’il aurait « reconnu les faits » sur soc.culture.occitan ! On l’accuse également d’être antisémite.
Éric Gonzalès n’a pas été révoqué de l’Éducation Nationale. Son casier judiciaire est vierge. Il n’est pas antisémite et la seule « preuve » de son prétendu antisémitisme qu’avance la personne qui le calomnie est qu’il porte souvent un keffieh (!).
Quant à Jean-François Blanc, le seul fait réel qui lui y est reproché est une lettre publiée il y a des années dans la revue Lo Lugarn, dans laquelle il défend le point de vue selon lequel il peut être dangereux de revenir sur le passé collaborationniste de Louis Alibert, parce que cela peut profiter aux adversaires de l’occitanisme.
L’auteur des calomnies envers Jean-François Blanc et Éric Gonzalès est un provençaliste fanatique dont, de son propre aveu, la seule raison de la présence sur soc.culture.occitan est de « casser de l’occitaniste », tous les occitanistes étant accusés de « nazisme » à cause de l’attitude d’Alibert pendant la guerre ! Il utilise divers pseudonymes comme « Bèstio del Giboudan », « Kwy = refilh de collabo », ou encore celui de « Elifodep el Sélaznog », calomniant ainsi jusque dans son pseudonyme.
Cet individu reste anonyme et c’est ce qui lui permet d’insulter et de diffamer. C’est également un malade mental qui a fini par prendre ses mensonges pour des réalités et « pète un câble » chaque fois qu’on lui démontre qu’il a tort, se lançant alors à publier des dizaines et des dizaines de messages diffamants pour celui qui le lui a démontré.
Depuis des années, il publie, au mépris de toute Netiquette, l’adresse postale de Jean-François Blanc sur soc.culture.occitan, ce qui constitue manifestement une atteinte à la vie privée, mais il ne publiait pas celle d’Éric Gonzalès. Depuis quelques semaines, il s’est également mis à publier celle-ci, alors qu’Éric Gonzalès n’est pas sur l’annuaire.
Comment s’est-il procuré cette adresse ? Au début de l’année, Éric Gonzalès a acheté un livre auprès des éditions Aigo Vivo dirigées par Yves Gourgaud, un autre provençaliste fanatique. Le calomniateur anonyme, qui est proche d’Yves Gourgaud – celui-ci intervient souvent sur son blog Mistralenc –, ne peut s’être procuré l’adresse d’Éric Gonzalès que par Yves Gourgaud. J’accuse donc solennellement Yves Gourgaud d’être complice des messages diffamants postés quotidiennement par le calomniateur anonyme d’Usenet.
J’accuse également Serge Goudard, militant provençaliste de Bouzigues dans l’Hérault, d’être complice de cette campagne par sa passivité puisqu’il ne fait rien pour faire cesser ce torrent de calomnies alors qu’il intervient sur les mêmes blogs (Info d’Oc, Mistralenc, Marsyas2 dont il est propriétaire) que le calomniateur anonyme.
J’accuse enfin Alain Broc (qui lui a bien été révoqué de l’Éducation Nationale), qui a eu cet aveu sur soc.culture.occitan : « Nous vous l’[le calomniateur anonyme] avons envoyé », de complicité puisque lui aussi ne fait rien pour faire cesser cette situation et ferme les yeux lors de ses interventions sur soc.culture.occitan.
Cette campagne de diffamation anonyme nous montre à quels coups bas sont prêts certains provençalistes pour nuire à des gens connus (un écrivain et un militant connu à l’I.E.O. Paris et sur Wikipedia) dans ce qu’il est convenu d’appeler l’« occitanisme » : il n’ont pas de morale, ils sont prêts à utiliser des méthodes dignes de la presse d’extrême-droite de l’Entre-deux-guerres. Car il s’agit bien, en vérité, d’une campagne politique, de basse politique, et pas d’une simple guéguerre de forum.
C’est pourquoi nous avons décidé de diffuser ce texte le plus largement possible : afin de répondre sur Internet à des propos publiés sur Internet.