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ne sabi pas si mond sera vertadierament interessat per aquesta serada mes que deishi 'informacion per anar passar ua serada de tardor dens las Lanas
http://www.sudouest.com/landes/actualite/dax/article/721975/mil/5164467.html
Le gascon ou les racines des noms
L'histoire de l'église Saint-Laurent qui domine la vallée de la Midouze, sera évoquée vendredi soir. (photo l. B.)
Toujours soucieuse de coller à l'histoire du territoire, l'Association culturelle du Pays tarusate (ACPT) accueille vendredi soir, à 20 h 30, dans la salle du foyer des jeunes, dans le cadre de Rencontre avec, Bénédicte Boyrie-Fénié, linguiste et docteur en géographie historique, pour une conférence qui s'annonce passionnante.« La présentation
de la soirée se fera sur le mode '' power point '', à savoir imagée » annonce la conférencière. En préambule, Bénédicte Boyrie-Fénié rappellera la place du gascon dans l'ensemble des langues romanes et dans le contexte occitan en particulier.Puis, plans et cartes anciennes ainsi que registres du XVIIIe siècle à l'appui, la citoyenne de Pissos évoquera l'ambiance du terroir à une époque où le gascon était la langue du quotidien.De l'Histoire, on glissera ensuite
vers le coeur du sujet, à savoir la toponymie, « science » qui consiste en l'étude étymologique des noms de lieux et de quartiers. Et dans un village qui fut naguère le siège de deux paroisses, la matière s'annonce riche.Le tout, selon un plan classique qui part de l'héritage naturel, se poursuit par l'occupation du sol (on dirait aujourd'hui aménagement du territoire) qui explique la division des terres et leur mise en culture et, enfin, les hommes.
Anciens patronymes« Cette dernière partie, toujours la plus importante en microtoponymie, permettra de découvrir les anciens patronymes des noms de baptêmes tombés en désuétude, des « chaffres » ou sobriquets, dont nombre de
personnes étaient affublées et des formes diminutives, parfois étonnantes », explique l'érudite.En somme, une lecture des lieux à travers ce qui a pu être retrouvé car beaucoup de toponymes ont disparu. Quelques-uns d'entre eux, récupérés sur les anciens registres paroissiaux, seront néanmoins évoqués.Bien entendu, chacun pourra apporter son éclairage personnel et poser moult questions à Bénédicte Boyries-Fénié ; et on pourra prolonger les conversations
autour du verre de l'amitié.Vendredi 2 octobre, salle du foyer des jeunes, à 20 h 30. Entrée gratuite.
http://www.sudouest.com/landes/actualite/dax/article/721975/mil/5164467.html
Le gascon ou les racines des noms
L'histoire de l'église Saint-Laurent qui domine la vallée de la Midouze, sera évoquée vendredi soir. (photo l. B.)Toujours soucieuse de coller à l'histoire du territoire, l'Association culturelle du Pays tarusate (ACPT) accueille vendredi soir, à 20 h 30, dans la salle du foyer des jeunes, dans le cadre de Rencontre avec, Bénédicte Boyrie-Fénié, linguiste et docteur en géographie historique, pour une conférence qui s'annonce passionnante.« La présentation
de la soirée se fera sur le mode '' power point '', à savoir imagée » annonce la conférencière. En préambule, Bénédicte Boyrie-Fénié rappellera la place du gascon dans l'ensemble des langues romanes et dans le contexte occitan en particulier.Puis, plans et cartes anciennes ainsi que registres du XVIIIe siècle à l'appui, la citoyenne de Pissos évoquera l'ambiance du terroir à une époque où le gascon était la langue du quotidien.De l'Histoire, on glissera ensuite
vers le coeur du sujet, à savoir la toponymie, « science » qui consiste en l'étude étymologique des noms de lieux et de quartiers. Et dans un village qui fut naguère le siège de deux paroisses, la matière s'annonce riche.Le tout, selon un plan classique qui part de l'héritage naturel, se poursuit par l'occupation du sol (on dirait aujourd'hui aménagement du territoire) qui explique la division des terres et leur mise en culture et, enfin, les hommes.
Anciens patronymes« Cette dernière partie, toujours la plus importante en microtoponymie, permettra de découvrir les anciens patronymes des noms de baptêmes tombés en désuétude, des « chaffres » ou sobriquets, dont nombre de
personnes étaient affublées et des formes diminutives, parfois étonnantes », explique l'érudite.En somme, une lecture des lieux à travers ce qui a pu être retrouvé car beaucoup de toponymes ont disparu. Quelques-uns d'entre eux, récupérés sur les anciens registres paroissiaux, seront néanmoins évoqués.Bien entendu, chacun pourra apporter son éclairage personnel et poser moult questions à Bénédicte Boyries-Fénié ; et on pourra prolonger les conversations
autour du verre de l'amitié.Vendredi 2 octobre, salle du foyer des jeunes, à 20 h 30. Entrée gratuite.