E i a mond que coneish un chic la situacion de l'occitan au colegi de Pelagrua?
http://www.sudouest.com/gironde/actualite/libournais/article/693908/mil/5050669.html
PELLEGRUE. L'établissement du Champ-d'Eymet perd une classe de 6e. José Bluteau s'insurge
« Le collège amputé »
Le verdict est tombé au début de l'été : effectif insuffisant pour assurer deux classes de 6e à la rentrée de septembre 2009.
Et les demandes de dérogations effectuées par des familles résidant hors du secteur n'y ont rien fait. En effet, sur 13 demandes justifiées par le souhait d'intégrer l'option occitan, très rarement enseignée dans les autres collèges des environs, ou pour des raisons strictement familiales, seules six semblent avoir reçu un avis favorable de l'Inspection académique.
Une lettre à l'Inspection
José Bluteau, maire de Pellegrue et conseiller général, inquiet de la situation, s'insurge contre cette décision qui risque de pénaliser le collège. « C'est d'autant plus incompréhensible, que certains des élèves refusés ont fait l'intégralité de leur scolarité primaire à Pellegrue, qu'ils y ont leurs camarades de classe et leurs parents travaillent ici ! ». Et de rajouter, agacé par le silence de l'Inspection académique à laquelle il a écrit deux fois pendant l'été à ce sujet, et de laquelle il n'a, à ce jour, encore reçu de réponse : « C'est à croire que le facteur humain n'a vraiment pas été considéré, et que seul le facteur numérique a joué ! ».En effet, comme nombre de collèges ruraux, celui du Champ-d'Eymet connaît depuis quelques années une baisse régulière de ses effectifs. Cette année, seuls 16 élèves du secteur s'annonçaient au printemps.Et si, finalement, 29 enfants intégreront la 6e, Jean-Luc Surjet, principal de ce collège qui compte près de 150 élèves se veut rassurant : « Traditionnellement, toutes les demandes de dérogation en faveur de l'option occitan étaient acceptées jusqu'à présent. Cette année, l'Inspection académique n'a vraisemblablement pas souhaité « dépeupler » les collèges voisins, souvent dans la même situation. Mais, avec le mini baby-boom de l'an 2000, les promotions à venir sont d'ores et déjà en augmentation, et
j'ai bon espoir que Pellegrue retrouve ses deux classes de 6e en 2010
ou 2011 maximum ».
http://www.sudouest.com/gironde/actualite/libournais/article/693908/mil/5050669.html
PELLEGRUE. L'établissement du Champ-d'Eymet perd une classe de 6e. José Bluteau s'insurge
« Le collège amputé »
Le verdict est tombé au début de l'été : effectif insuffisant pour assurer deux classes de 6e à la rentrée de septembre 2009.
Et les demandes de dérogations effectuées par des familles résidant hors du secteur n'y ont rien fait. En effet, sur 13 demandes justifiées par le souhait d'intégrer l'option occitan, très rarement enseignée dans les autres collèges des environs, ou pour des raisons strictement familiales, seules six semblent avoir reçu un avis favorable de l'Inspection académique.
Une lettre à l'Inspection
José Bluteau, maire de Pellegrue et conseiller général, inquiet de la situation, s'insurge contre cette décision qui risque de pénaliser le collège. « C'est d'autant plus incompréhensible, que certains des élèves refusés ont fait l'intégralité de leur scolarité primaire à Pellegrue, qu'ils y ont leurs camarades de classe et leurs parents travaillent ici ! ». Et de rajouter, agacé par le silence de l'Inspection académique à laquelle il a écrit deux fois pendant l'été à ce sujet, et de laquelle il n'a, à ce jour, encore reçu de réponse : « C'est à croire que le facteur humain n'a vraiment pas été considéré, et que seul le facteur numérique a joué ! ».En effet, comme nombre de collèges ruraux, celui du Champ-d'Eymet connaît depuis quelques années une baisse régulière de ses effectifs. Cette année, seuls 16 élèves du secteur s'annonçaient au printemps.Et si, finalement, 29 enfants intégreront la 6e, Jean-Luc Surjet, principal de ce collège qui compte près de 150 élèves se veut rassurant : « Traditionnellement, toutes les demandes de dérogation en faveur de l'option occitan étaient acceptées jusqu'à présent. Cette année, l'Inspection académique n'a vraisemblablement pas souhaité « dépeupler » les collèges voisins, souvent dans la même situation. Mais, avec le mini baby-boom de l'an 2000, les promotions à venir sont d'ores et déjà en augmentation, et
j'ai bon espoir que Pellegrue retrouve ses deux classes de 6e en 2010
ou 2011 maximum ».